Hé! Je m’appelle Michael Stavrakakis, un photographe animalier de Melbourne, en Australie.
J’ai commencé la photographie en 2016 lors de mon premier safari en Afrique du Sud. Depuis, j’ai parcouru le monde, choisissant des destinations en fonction de la faune que j’espère capturer.
De tout, des ours polaires de l’Arctique aux gorilles d’Ouganda !
Mon premier appareil photo était le Olympus EM-1qui m’a bien servi pendant trois ans. C’était une excellente introduction à la photographie, mais j’ai trouvé la limitation du capteur micro quatre tiers plus petite.
En 2019, je suis passé au Sony A7 III et je n’ai pas regardé en arrière. Je suis fan du système plein format de Sony et je suis maintenant passé à une paire de Sony A7IVs.
Récemment, j’ai pris la décision impulsive d’ajouter du matériel Nikon à mon kit. J’ai été époustouflé par le Nikon Z8 et le Nikon Z 400 mm f/2,8 TC VR S avec le téléconvertisseur 1,4 fois intégré.
La possibilité de passer instantanément au 560 mm f/4 a changé la donne et je n’ai pas pu résister.
Voici ce avec quoi je travaille actuellement :
Nikon Z8 – Prendre des photos à trente images par seconde avec une résolution de 45 MP est un rêve pour la photographie animalière. Cela me donne la flexibilité de figer des moments et de les recadrer en cas de besoin.
Le viseur sans occultation et la superbe mise au point automatique sont un avantage pour suivre des sujets en mouvement rapide.
Sony A7IV – J’en ai deux comme bêtes de somme. L’écosystème sans miroir de Sony est sans doute le meilleur. Bien que la vitesse de dix images par seconde ne soit pas idéale pour une action rapide, ce sont d’excellents appareils photo hybrides qui gèrent un peu de tout à un prix raisonnable et qui ne me font pas encore défaut.
Nikon Z 400 mm f/2,8 TC VR S – J’ai réfléchi pendant un moment à l’achat du Sony 400 mm, mais j’hésitais à avoir besoin d’un téléconvertisseur externe. La poussière, le temps perdu à changer de matériel et les opportunités manquées m’ont conduit à l’achat impulsif et coûteux du Nikon avec son téléconvertisseur intégré.
Cela a été une révélation, me permettant de basculer en toute transparence entre 400 mm f/2,8 et 560 mm f/4. Lors de mon récent voyage en Afrique, c’était mon objectif préféré, et je ne peux pas imaginer m’en passer maintenant.
Sony 200-600mm f/5.6-6.3G OSS – C’était mon principal objectif animalier avant le Nikon Z 400mm f/2.8.
Sa polyvalence de 200 mm à 600 mm est inégalée, mais peut être légèrement molle à l’extrémité longue.
Cela dit, il s’agit toujours d’un objectif incroyablement pratique pour les voyages et les situations de prise de vue dynamique, et son prix le rend encore plus attrayant.
Sony 70-200 mm f/2,8 GM II – est mon objectif préféré. Il est parfait pour capturer des photos environnementales et mettre en valeur les animaux dans leurs habitats.
L’ouverture f/2,8 le rend idéal dans des conditions de faible luminosité, en particulier pour les photos tôt le matin et après le coucher du soleil, lorsque toute l’action est intense.
Sony 24-70 mm f/2,8 GM II – L’objectif parfait pour se promener au quotidien. C’est pratique pour les moments en coulisses, les grands troupeaux et lorsque les animaux s’approchent de très près.
Sony 16-35 mm f/2,8 GM – Je n’utilise pas souvent cet objectif, mais il a été fantastique pour l’astrophotographie et les paysages. Je prévois d’obtenir bientôt mon certificat de plongée, et ce sera mon choix pour la photographie sous-marine.
Tout mon équipement rentre parfaitement dans le Sac à dos F-Stop Tilopa DuraDiamond 50L y compris le Trépied en fibre de carbone Gitzo Mountaineer série 2le Monopode Benro Supadupa Pro en Fiber de carbone, et mon Jumelles Vortex Diamondback HD 8 × 42.
De plus, j’ai toujours une réserve d’oursons gommeux Haribo. On ne sait jamais quand on aura besoin d’un regain d’énergie sur le terrain !
J’utilise un LensCoat LensSack Pro avec Rotule FlexShooter Pro pour le suivi et la stabilité lors de la prise de vue depuis des véhicules de safari.
Il y a encore tellement d’endroits à explorer et d’animaux sauvages que j’espère capturer, et 2025 s’annonce comme une année passionnante.
Le premier arrêt est Bornéo pour photographier les orangs-outans, le Pantanal au Brésil pour observer les jaguars chasser les caïmans et la Patagonie au Chili pour les insaisissables pumas.
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